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Les calades, ces chemins ou places de pierres debout (posées de champ) font écho à un savoir-faire local voisin de la mosaïque et sont souvent agrémentées de décors stylisés, motifs floraux, géométriques ou de tous genres. 

C’est un moyen pour le compagnon en charge de la construction d’apporter une touche personnelle et expressive à son œuvre mais aussi d’utiliser à bon escient la diversité des pierres pour l’embellir. Des pierres initialement recueillies pour étendre les surfaces cultivables. 

Ces calades originaires de la région et réalisées de mains d’Hommes s’inscrivent aujourd’hui dans le patrimoine architectural de nos beaux villages et font toujours l’objet d’une restauration minutieuse dans la plus pure tradition.

A la tieuna / A la vÒstra /A la nÒstra

Voici ceux qui se cachent derrière ce produit : des grands, des chevelus, des plus dégarnis, des expérimentés, des barbus, la relève, des gourmands, des blonds, des bruns... 3 ou 4 générations, des familles, des amis, tous soudés pour toujours aller de l’avant et ravis de porter à votre connaissance le fruit de leur travail d’une année ainsi qu’un produit qui leur ressemble : plein de fraîcheur, convivial, facile à aborder à toute heure de la journée, sympathique, haut en couleurs.

Alors il ne reste plus qu’à trinquer. Santé !

Inscrit à l’inventaire du patrimoine culturel immatériel de la France depuis 2012 :
le jeu de balle au tambourin est un sport qui se pratique en France depuis la fin du XIVème siècle. Il persiste aujourd’hui essentiellement dans les villages de l’Hérault mais également dans d’autres pays comme l’Italie. Il s’agit d’un sport collectif impliquant deux équipes de cinq joueurs munis de tambourins qui doivent chacune veiller à renvoyer la balle dans le camp adverse à la manière du tennis. En occitan languedocien, tambornet signifie aussi bien le sport en lui-même que le tambourin.

La Joute nautique de méthode languedocienne est un sport qui se pratique dans les villes de Béziers, Agde, Marseillan, Mèze, Balaruc, Sète, Palavas et le Grau du Roi. Sa pratique consiste en une confrontation entre deux jouteurs montés sur des barques propulsées par des rameurs, une rouge et une bleue.
Ils sont chacun munis d’une lance et d’un pavois et se font face depuis la tintaine, cette petite plate-forme surplombant les barques. En occitan languedocien, targa signifie aussi bien le sport en lui-même que le pavois.

La course camarguaise est un jeu sportif, sans mise à mort, pratiqué dans les départements français du Gard, de l’Hérault, une large partie des Bouches-du-Rhône, ainsi que dans quelques communes de Vaucluse. Sa pratique consiste, dans des arènes, en ce que les raseteurs munis de griffes tentent de glaner des attributs primés fixés sur un bœuf appelé cocardier mais auquel on confère parfois la dignité de taureau. On appelle aussi ce jeu sportif la course
à la cocarde (cocarda en occitan) car il se pratique bien au-delà des limites de la seule Camargue.  

Un proverbe populaire qui dit que «pour vivre à Saint-Guilhem-le-Désert, il faut échine d’âne, dent de loup et jambe de chien» et qui continue même ainsi «nous sommes assez pour manger ce que nous avons et si quelqu’un veut venir, qu’il se coupe les jambes en chemin». Cet adage trouve son origine dans la pauvreté et la frugalité du régime des monastères d’antan dans ces régions arides. C’était une autre manière de dire que le visiteur n’était pas réellement le bienvenu car coûteux mais surtout que la survie au quotidien n’était point chose aisée et qu’elle demandait des aptitudes  particulières !

Cette cuvée rend hommage au travail de nos vignerons. Dans le plus pur respect de la Nature qu’ils ont su apprivoiser tout en la préservant, ils façonnent ce vin sans artifice, conscient du rôle qu’ils ont à jouer pour l’environnement et donc les générations à venir.

C’est tout le sens de leur engagement. 

C’est tout l’esprit du Larzac qui se retrouve concentré dans cette gamme de vins issus de la diversité de nos plus beaux terroirs et donc aux profils variés. Issus de nos meilleures parcelles, ces vins de garde aux accents de garrigue parcourent les différentes facettes d’une appellation pleine de promesse.

Cette gamme issue de nos meilleures parcelles en AOP Languedoc Saint-Saturnin et dont les noms de cuvées sont inspirés de l’œuvre de Max Rouquette (1908-2005) réunit tous les ingrédients pour vous faire passer de véritables instants de poésie, entre richesse et rondeur. Véritables ambassadeurs d’une appellation idéalement située, ces vins présents, ronds et frais explorent le terroir de Saint-Saturnin.

Pour ces deux cuvées, chaque grain de raisin est rigoureusement sélectionné en fonction de son potentiel à élaborer des grands vins. Ce sont là nos plus belles créations, secrètement conservées et peaufinées un an durant dans la pénombre d’une grotte pour vous offrir ces produits exceptionnels aux propriétés organoleptiques optimales, pures et préservées.

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